Le marathon de Paris par Lolo
Publié le 8 Avril 2009
" Voici mes sentiments sur le marathon de Paris.
Le Marathon de Paris que l'on dit le plus beau du monde est à mon avis victime de son succès, je me faisais un plaisir de le découvrir et j'en ai été déçu.
Je n'ai pas vu grand chose, trop occupé à faire attention aux personnes courant coude à coude tout au long du parcours. Difficile de doubler sans bousculer quelqu'un, de ne jamais courir à son rythme ou de s'entraver les pieds dans des bouteilles d'eaux à peine consommées jonchant les rues Parisiennes.
Peut être aurait il fallu s'inscrire dans un sas plus ambitieux comme 3h30.
C'est une marée humaine continue du début à la fin.
Coté performance j'améliore mon temps par rapport à Nice-Cannes (4h17) et je passe sous les 4h00 (3h55) donc satisfait quand même.
J'ai eu un sérieux coup de pompe au 33ème km jusqu'au 39ème puis sentant la ligne d'arrivée plus proche j'ai retrouvé mes jambes pour finir comme en fractionné !
Ce que je retiendrai c'est cette formidable aventure d'avoir couru pour un enfant malade du prénom de Thibault, atteint d'une leucémie. Ce petit bonhomme m'aura sacrément aidé sur cette fin de parcours, mes pensées sont pour lui..."
La fiche de course de Lolo et celle de Laurent.
Le Marathon de Paris que l'on dit le plus beau du monde est à mon avis victime de son succès, je me faisais un plaisir de le découvrir et j'en ai été déçu.
Je n'ai pas vu grand chose, trop occupé à faire attention aux personnes courant coude à coude tout au long du parcours. Difficile de doubler sans bousculer quelqu'un, de ne jamais courir à son rythme ou de s'entraver les pieds dans des bouteilles d'eaux à peine consommées jonchant les rues Parisiennes.
Peut être aurait il fallu s'inscrire dans un sas plus ambitieux comme 3h30.
C'est une marée humaine continue du début à la fin.
Coté performance j'améliore mon temps par rapport à Nice-Cannes (4h17) et je passe sous les 4h00 (3h55) donc satisfait quand même.
J'ai eu un sérieux coup de pompe au 33ème km jusqu'au 39ème puis sentant la ligne d'arrivée plus proche j'ai retrouvé mes jambes pour finir comme en fractionné !
Ce que je retiendrai c'est cette formidable aventure d'avoir couru pour un enfant malade du prénom de Thibault, atteint d'une leucémie. Ce petit bonhomme m'aura sacrément aidé sur cette fin de parcours, mes pensées sont pour lui..."
La fiche de course de Lolo et celle de Laurent.